Les aventures de Kecy

Catégories : Femmes fessées
il y a 4 ans

Une little âgée de 25 ans, s’est ouverte sur le forum d’écriture sur un fait : Mon idéal serait de trouver un chéri qui soit daddy dom. Les rencontres éphémères et sanitaires laissent un goût de solitude après et même un peu de honte de ce qu'on a fait.

Max est à la fois fesseur, daddy et Maître, en lisant le post de Kecy sur le forum, il est allé voir son profil. L’annonce indique : « Kecy est une petite fille pas sage du tout, elle a commencé à surfer sur les sites des grands il y a très longtemps. Malgré ses surfs coquins, elle se refuse à grandir mais rêve de trouver un Daddy pervers pour la dévergonder. BDSM oui, elle en rêve mais pas des trucs hard comme les aiguilles et tout ça, juste des jeux de grands vilains ».

En lisant cette annonce, il s’est dit « pourquoi ne pas tenter ma chance ? Après avoir fignolé son profil et surtout son annonce, il décide de contacter Kecy

Mademoiselle,

Je crois comprendre que votre coeur est un peu malade d’être seul. Certes il est facile pour une femme de trouver un homme pour un moment de plaisir, mais trouver SON homme est bien plus délicat. A cela se rajoute que si vous n’êtes pas sage, les hommes faibles ou simplement profiteurs, doivent vous fuir après avoir bassement essayé de profiter de vous.

Alors soyons clairs et directs !

Je suis célibataire, j’ai 10 ans de plus que vous et je pense avoir le profil de l’homme que vous recherchez. Vous devez savoir que si je suis de nature câline, ouverte et respectueuse, je peux sans aucun problème être sévère et ferme si besoin. Si vous êtes vilaine avec moi, il ne faudra pas vous étonner d’être déculottée et fessée.

Je différencie totalement les jeux BDSM coquins, de l’éducation d’une little qui, comme chacun sait, peut être insupportable. Une femme est une princesse, mais si la princesse n’est pas sage, le prince se doit d’intervenir. Si la princesse a des fantasmes, en mari aimant et à son écoute, le prince se doit de l’aider à réaliser ceux qui sont « raisonnables » puis de lui faire découvrir d’autres horizons.

Daddy je le suis naturellement, je n’ai pas besoin de me mettre dans la peau d’un personnage pour l’être. Et pour cause, je suis un enseignant qui, hélas face à la démission des parents, fait de l’éducation au lieu de faire de l’instruction. Je suis également papa, j’ai une fille qui vit avec sa mère. Nous l’avons commandée par accident quand nous avions 18 ans. Si sa mère était charmante, nous étions un peu jeunes à cette époque pour décider de vivre une vie de couple. Notre couple a résisté 7 ans, avant que nous décidions, d’un commun accord, de mettre un terme à notre mariage. Je sais donc mettre une couche, donner un biberon et raconter des histoires.

Voilà pourquoi je vous indique que je pense sans aucune prétention, avoir le profil de l’homme que vous recherchez. Pour savoir si la chimie de sentiment peut se faire entre nous, je vous propose dans un premier temps d’en parler par téléphone, puis si nous nous trouvons des affinités, je pourrai vous inviter à déjeuner au restaurant.

Allez-vous oser me répondre ? Allez-vous tout simplement oser affronter le risque d’être « encadrée » avec tendresse comme vous semblez le rêver ? Mes respectueuses salutations

Max

......................

A la lecture de ce message privé, Kecy trouve que ce mec est prétentieux. Elle décide donc de ne pas lui répondre. Malgré tout, certains passages la titillent. Après s’être fait un biberon de coca, elle s’installe devant sa télévision pour regarder le DVD de Lolita malgré moi Scénarisé par Tina Fey, qui joue également dans ce film. La fatigue pointe son nez, ses paupières deviennent lourdes, la tête calée sur un cousin, Kecy s’endort devant la télévision.

Max est là, il râle parce qu’elle regarde la télévision au lieu de finir son CV. Il lui indique que ces bêtises ont assez durée et qu’un recadrage s’impose. Attrapée par le bras, elle se retrouve couchée sur ses genoux. Elle a beau se débattre, il relève sa jupe jugée trop courte, la déculotte pour lui donner une sévère fessée. Pendant qu’il lui tanne les fesses, elle parvient à bouger et tombe du canapé.

« Et merde » crie Kecy en se relevant. Seule dans son salon, elle s’interroge sur ce rêve qu’elle vient de faire. Elle éteint la télévision et le lecteur DVD, ramasse son biberon et va se coucher. Le sommeil ne vient plus, le rêve passant en boucle dans sa tête commence à l’exciter. Naturellement sa main descend vers son mont de Vénus, y trouve une perle et une certaines moiteur. Ne pouvant rester dans cet état, elle n’a pas d’autre choix que d’attraper son magic puissance 10 acheté sur ABCplaisir. (Un peu de pub je sais)

Et là, les yeux fermés, elle se revoit sur les genoux de son fesseur imaginaire, qui, après l’avoir fessée, la console en lui faisant l’amour.

  • Il faut vraiment que je me trouve un mec ! Dit Kecy à haute voix en posant son magic sur la moquette.

Le lendemain, en regardant ses messages privés sur Fessestivites, aucun ne l’intéresse hormis celui de Max. Il est vrai qu’entre les mecs lui proposant de swicher daddy et bébé avec une faute par mot et le message de Max, on n’est pas dans le même monde. Elle se décide donc à lui répondre. Un message en appelant un autre, au troisième Max lui donne son numéro de téléphone avec des horaires. « Tu peux appeler tous les soirs entre 18 et 21 heures sauf mercredi qui est le jour réservé à ma fille ».

C’est vrai que cela change des skypes, avec webcam bien sûr, proposés par les voyeurs se dit Kecy. Le soir même, comme l’oiseau qui saute du nid, elle se décide à l’appeler. La conversation ne dure que trois heures. Autant dire qu’ils se sont trouvés quelques affinités et choses à se dire. Rendez-vous est pris pour le samedi midi au Bird restaurant à Yerres.

Max est au rendez-vous depuis 15 minutes et toujours pas de Kecy. Il commence à s’énerver pour ce manque de respect et envisage de partir quand il voit arriver une jeune femme dans une Clio originale avec des autocollants de fraise de partout sur la carrosserie.

  • Je commençais à trouver le temps long, 15 minutes de retard égale en principe 15 claque sur les fesses.

  • J’ai eu du mal à trouver une place !

  • Tu te moques de moi, le parking est presque vide ! En cas d’effronterie, on peut transformer le calcul des claques en seconde. 15 minutes cela fait combien de secondes ?

  • Je sais pas, c’est grave monsieur le professeur ?

  • 900 est le résultat, sur un fessier cela commence à faire beaucoup !

  • On peut manger avant, j’ai peur que la cantine ferme et j’ai faim ?

C’est sur ce ton que débute la rencontre physique entre un professeur un peu agacé et une little effrontée qui n’a peur de rien. Le déjeuner se déroule comme l’entretient téléphonique, ils trouvent de tonnes de choses à se dire, si bien, qu’à 16 heures, le serveur doit venir leur annoncer qu’ils doivent préparer la salle pour le soir.

  • Bon cette fessée pour ton retard, on la note dans un carnet de punitions ou on trouve un endroit pour la donner maintenant ? Demande Max.

  • Pourquoi attendre pour arracher la page de ton carnet ?

  • PFFFF, chez toi ou chez moi pour ta fessée mais j’habite à Créteil ?

  • Chez moi, mais tu ne regardes pas le bazar ! Répond Kecy en totale confiance avec cet homme charmant.

Quelques minutes plus tard, Max découvre un petit appartement coquet mais où un chat aurait du mal à y retrouver ses petits tant il est « bordélique » ! Comme il a promis de ne rien dire, il ne fait aucun commentaire sur l’état de l’appartement mais, entre dans le vif du sujet pour mettre les fesses « à vif ».

Même si elle est en confiance, Kecy a un peu peur quand il l’attrape par le bras et attrape une chaise pour lui donner sa fessée. Ayant accepté le jeu, elle se laisse coucher sur les genoux de Max en tremblant de la tête aux pieds. Sans aucune hésitation il relève la jupe et commence à donner des claques modérées sur son très joli petit fessier. La vilaine s’amuse à pousser de petits cris, à le traiter de méchant, elle s’amuse comme une gamine jusqu’au moment où il attrape sa culotte et la baisse d’un seul coup.

  • L’échauffement est terminé, passons à ta punition. Nous avons dit 900 claques !

  • Mais tu es fou, c’est trop !

  • Tais-toi et souffre ! Répond Max avant d’ajouter et apprend que la ponctualité est la politesse des rois !

  • Mais j’ai pas fait exprès..... aie, aie, aie, aie,

En bonne effrontée tête de mule, Kecy continue de provoquer, pour essayer de compenser la gêne d’avoir les fesses à l’air dès la première rencontre. Agacé Max lui bloque les jambes et le bras rebelle et poursuit sa fessée sans tenir compte des jérémiades. Le joli fessier prend rapidement une couleur pourpre et la vilaine finit par laisser au placard ses bêtises jugées trop dangereuse pour la peau de ses fesses.

La fessée terminée, il l’attrape à bras le corps pour la porter au piquet en lui mettant les mains sur la tête. Honteuse et détestant le coin qui est pour les gamins, Kecy râle. La promesse de recommencer tout depuis le début la calme un peu. Etant observateur, Max a repéré un biberon dans la cuisine. Il va le laver et le remplir d’eau.

  • Je veux du coca !

  • On dit s’il te plait ! Répond max.

  • S’il te plait !

Jugeant qu’une bonne pédagogie se doit d’être progressive, Max reste calme et ouvre le réfrigérateur pour chercher du coca. Le mot bazar n’est pas suffisant pour décrire ce qu’il voit. Encore une fois, il ne dit rien et se contente de remplir le biberon de coca. De retour au salon, il prend place sur le canapé, après avoir écarté quelques magazines... puis appelle Kecy. Elle remonte sa culotte tombée à ses chevilles pour venir prendre place sur les genoux de l’homme qui doit se faire pardonner d’après elle. Si Max avait entendu cette pensée, on peu se douter qu’il n’aurait pas vu les choses sous le même angle....

Assise sur les genoux de Max (mais cette fois dans l’autre sens) elle se love contre lui et le laisse lui donner son biberon de coca. Ayant rangé, momentanément, sa tenue de fesseur, Max devient un Daddy câlin et consolateur. Il caresse doucement le front de la little d’une main tout en lui donnant son bibi de coca. Le dit bibi terminé, Max fait de petits bisous sur le front de l’effrontée dont les lèvres sont soudainement attirées la celle du méchant Daddy.

Un bisou en attirant un autre, qui finit à un moment ou un autre par appeler une caresse, nos tourtereaux commencent à fusionner. Les mains s’aventurent et Max, toujours aussi respectueux, refreine son envie de dévorer la petite.

  • Ce n’est pas bien ce qu’on fait, tu vas dire que je suis une fille facile !

  • Non, je pense qu’une fusion est en train de se faire et que nous en avons envie tous les deux. Je me trompe ?

  • Pas vraiment mais normalement je fais jamais la première fois. Ma morale me l’interdit !

  • Et si je t’attachai pour te v i o l e r, ta morale serait sauve ! Qu’en penses-tu ?

  • Cet argument me perturbe......

Max la repousse doucement puis retire la ceinture de son pantalon en lui demandant de lui tendre ses poignets.

  • Pitié monsieur, ne me faites pas de mal ! Mumure Kecy en baissant les yeux mais.... en avançant ses poignets.

Les poignets prestement liés, Kecy est portée jusqu’à sa chambre pour y être allongée sur le dos. Max l’enjambe, soulève les bras innocents qu’il bloque au dessus de la tête de sa victime, pour entreprendre de dévorer sa piste d’atterrissage à coup de bisous. (son cou, le hautes de épaules) Sous cette avalanche de douceur, de frissons et l’effet des entraves fictives, les jambes de la belle s’écartent par inadvertance. Profitant de la faiblesse et de la peur de sa victime qui accepte de ne pas bouger, Max fait une pause pour aller chercher un préservatif. A son retour, Kecy n’a pas bougé, les yeux fermés elle attend en méditant. L’attachement, le lien … Comment exprimer le plaisir infini qu’elle vit à se laisser aller aussi loin ?

Lorsqu’il s’allonge entre ses jambes, par principe et jeu elle murmure encore des « pitié » puis « pas ça » « non » avant de choisir un vocabulaire plus pauvre se limitant à des « ah » et des « oui ».

Dans sa tête, se construit un cocktail explosif de tant de sensations où se mêlent avec confusion sa personnalité morcelée de femme, e n f a n t , sauvage, soumise, joueuse, prête à se révolter à obéir à crier non et à s’offrir en chuchotant oui. C’est la première fois qu’elle fait l’amour attachée et découvre les sensations de ne pouvoir rien faire, d’être obligée de s’abandonner au plaisir ainsi.

EPILOGUE

Depuis cette première, Kecy ne manque plus aucune occasion de se faire châtier pour s'enchanter, à chaque fois plus intensément, de la honte d'être nue et entravée, fessée, touchée puis baisée sauvagement. La punition excitant son moi intérieur, le pauvre Max s’essouffle parfois mais ne changerait sa place pour rien au monde.

TSM

NOTE DE L’AUTEUR

Cette histoire est totalement fictive. Je l’ai écrite à la demande de Kecy, une fille adorable qui est sur Fessestivites et à qui, je souhaite bonne chance.

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